Je Fais La Salope 4, J’Allume Les Hommes, Rencontres Inattendues

Après encore une nuit plus qu’agité avec 5 hommes et un passage dans le boxe avec Pascal, je continuais à faire la salope avec les hommes.
Pour la pause déjeunée, je décidais de changer de direction et d’endroit pour éviter de croiser les trois d’hier. Bien qu’ils m’aient donnée du plaisir.
J’allais dans une brasserie que je ne connaissais pas. Il n’y avait pas beaucoup de monde, le serveur d’un âge certain, pas dans mes gouts. Je me suis installée en terrasse, toujours avec la même attitude de salope. Les jambes bien dégagées, la jupe remontée mi cuisses, le tout en fixant les hommes droit dans les yeux et matant tout ce qui pouvait passer. Mais il n’y avait pas beaucoup de monde et de passage.
Les jours se sont écoulés, sans opportunités, bien que je me sois fais offrir un café par un homme très classe mais qui avait dans la soixantaine, donc pour moi avec surement la bite trop molle. Quelle salope, avec tout ce que je prenais, entre les nuits et le passage dans le boxe avec Pascal. Il me l’avait fait remarquer que j’étais plus que chaude en ce moment. Cela faisait quasiment deux semaines que je passais les nuits et les we avec 5 hommes. J’étais plus qu’ouverte de tous les cotés. Le pire est que le soir je ne limitais en aucun cas leurs ardeurs. Je me comportais comme une vulgaire trainée.

Le vendredi, je décidais d’aller dans une brasserie un peu plus loin, pour voir ce qu’il y avait d’intéressant.
Je me suis installée comme d’habitude avec mon attitude de salope.
Rien à l’horizon, sauf qu’à un moment, je sentais comme des regards qui se posaient sur moi.
Je me suis retournée et j’ai pu apercevoir 2 jeunes, très jeunes qui me regardaient ; Ils étaient situés de l’autre coté de la terrasse, et ils me mataient à travers les vitres de la brasserie.
Je me suis retournée plusieurs fois, ils avaient le regard fixé sur moi.
Au moment de partir je me suis levée et me suis retournée en les gratifiant d’un large sourire.


Je marchais en direction de mon bureau tranquillement, en pensant que je serai bien faite un encas coquin après déjeuné.
Mais bon il était l’heure de rentrer, surtout avec le débordement horaire d’hier.
Je remontais les rues pour regagner mon travail, lorsque soudain, deux garçons, ceux de la brasserie sont arrivés à ma hauteur sans que je les entende. Ils m’ont fait sursauter
Le premier « bonjour n’ayez pas peur »
Moi « vous m’avez surprise, je ne vous avais pas entendu arriver »
Le premier « nous vous avons vu à la brasserie, vous l’éclairiez de toute votre beauté »
Moi « et bien jeune homme, vous n’êtes pas avare de compliment envers les femmes, surtout les femmes d’un certain âge »
Toujours le même « vous être jeune et surtout très belle »
Moi « vous êtes de très jeunes hommes et je ne vois pas pourquoi vous abordez une femme comme moi, vous êtes des gamins » j’essayais de le déstabiliser
Le premier « vous avez 25 à 30 ans »
Moi « oui j’aimerais bien, mais cela fait longtemps que ces âges sont passés »
Le premier « la trentaine »
Moi « je ne sais pas si vous le savez, mais l’on ne demande jamais son âge à une femme » et de rajouter « il faut que j’aille travailler et je n’ai pas envie d’avoir d’ennuis avec vos parents »
Le premier « je m’appelle Vincent et lui Jonathan, nous sommes majeur, moi j’ai 20a et lui 18a »
Moi « cela m’étonnerais, vous êtes des gamins »
Vincent en sortant de sa poche sa carte d’identité « regardez, vous voyez bien que j’ai 20ans » et de rajouter « Jonathan montre la tienne » Il sortit la sienne, Vincent lui prenant des mains pour me la montrer « vous voyer nous sommes tous les deux majeurs »
Moi « très bien, mais je dois retourner travailler »
Vincent « nous voudrions vous inviter à prendre un café »
Moi « je vous dis que je n’ai pas le temps, je ne suis pas étudiante, je ne suis pas en vacances »
Nous remontions les rues, et comme je ne connaissais pas bien le coin, j’essayais de me rappeler le trajet.

Vincent ne voulant lâcher prise, se mis devant moi un genou à terre en me disant « je vous le demande gentiment, accepter de prendre un café avec nous, cela nous ferait plaisir, hein Jonathan »
Moi « relevez vous, je ne veux pas me faire remarquer, vous êtes ridicule en pleine rue »
Jonathan qui n’avait encore rien dit « oui cela nous ferait très plaisir »
Moi « je suis pressée, et il n’y a pas de café dans le coin »
Vincent « si regardez, il y en a un au coin, vous voyez »
J’étais un peu prise de cours, ils avaient l’air sympathique, et me faire draguer pas deux jeunes, n’était pas désagréable.
Moi « bon très bien, mais rapidement »
Vincent « je suis content que vous ayez accepté et Jonathan aussi, hein Jonathan »
Jonathan qui ne parlait pas beaucoup « oui »
Nous nous sommes installés à une table en terrasse.
Moi « que faites vous à Paris pendant les vacances scolaire, alors que tout le monde est au soleil, à la plage »
Vincent « je garde l’appartement de mon oncle, pendant qu’il est parti, avec Jonathan »
Moi « c’est le monde à l’envers, pendant que les jeunes sont en vacances dans le sud, vous vous êtes à Paris » et de rajouter « et avec toutes les belles jeunes filles qu’il y a vous abordez les femmes de mon âge dans la rue »
Vincent « les filles de notre âge ne vous valent pas au centième, vous êtes très belle »
Moi « Vincent, soyez gentil, je suis une femme pas une fille de votre âge »
Vincent « toutes les filles de notre âge ne sont pas comme vous, vous avez une beauté naturelle »
Moi « écoutez, vous êtes gentils, mais la je doit y aller »
Vincent « vous ne voulez pas prendre un deuxième café »
Moi « Vincent, je travaille, je ne suis pas en vacances, je ne suis pas étudiante » afin de leur montrer que j’étais une femme
Je reculais ma chaise, Vincent paya et nous nous levions.
Une fois dans la rue « Vincent et Jonathan, je vous remercie pour le café »
Vincent s’avançant pour m’embrasser, je lui tends la main « Au revoir les garçons »
Vincent « nous pouvons vous raccompagner un peu »
Moi « non, il faut que j’y aille, n’exagérez pas, nous avons pris déjà un café, il faut que j’y aille »
Vincent « je peux avoir votre téléphone »
Moi « non Vincent, j’y vais »
Vincent « comment je fais pour que l’on se revoit »
Moi « le hasard peut être »
Je retournais travailler avec un peu la tête à l’envers.

A suivre

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